The fault in our stars de John Green - Ou ma première expérience en VO
I'm in love with you, and I'm not in the business of denying myself the simple pleasure of saying true things. I'm in love with you, and I know that love is just a shout into the void, and that oblivion is inevitable, and that oblivion is inevitable, and that we're all doomed and that there will come a day when all our labor has been returned to dust, and I know the sun will swallow the only earth we'll ever have, and I am in love with you.
p.153
Auteur: John Green
Edition: Penguin
Mois et Année de parution: 2012
Nombre de pages: 313
Prix: 7,59 € (Amazon)
ISBN: 978-0-141-34565-9
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Sysnopsis:
Despite the tumor-shrinking medical miracle that has bought her a few years, Hazel has never been anything but terminal, her final chapter inscribed upon diagnosis.
But when a gorgeous plot twist named Augustus Waters suddenly appears at Cancer Kid Support Group, Hazel's story is about to be completely rewritten.
Mon avis:
Je pense que tout le monde connaît, a déjà lu ou vu "Nos étoiles contraires", je ne m'étendrai donc pas trop sur l'histoire ou les personnages, mais plutôt sur ce que ce livre représente pour moi: ma première lecture en vo!
L'été 2013 (souvenirs souvenirs, ça remonte!), avant mon blog donc, j'avais lu Nos étoiles contraires en version française. Enorme coup de cœur, tout ma famille fut obligé de le lire! L'été dernier, j'ai bien sur vu le film, que j'ai beaucoup aimé également.
Et, vu que depuis quelques temps, lire en anglais me tentait de plus en plus, je me suis fait offrir à mon anniversaire la version originale. Je pensais que j'aurais besoin d'une armée de dictionnaire, de NEC en français, etc, alors que je l'ai lu de manière assez naturelle, sans jamais chercher la traduction de mot/phrases.
Je n'ai pas compris chaque mot, évidemment, mais je n'ai jamais été perdu. D'avoir vu le film m'a permis de toujours me représenter les situations et de savoir ce qui allait se passer ensuite.
Et puis, pour les mots qui reviennent souvent dans le récit, on comprend vite ce qu'ils veulent dire, dans le contexte.
Il est évident que je préfère la version originale à la version française, et je pense que ce serait le cas avec tous les romans traduits que j'ai lu, pour l'unique raison que la plume de John Green prend énormément d'ampleur, elle se découvre dans son intégralité, et c'est magnifique.
Par cela, je veux dire que j'ai été plus facilement, plus naturellement émue que par la version française.
Les passages célèbres traduit en français sont tellement plus authentique dans leur langue originale; il en est de même pour les personnages, les dialogues: on ne peut pas y résister!
Le texte prend vie dans notre tête, et c'est parti pour 300 pages aux côtés d'Hazel et de Gus!
Il n'y a pas de doute que c'est un roman juste fantastique, car même en connaissant l'histoire par cœur, on ne s'en lasse pas.
Et puis, pour les mots qui reviennent souvent dans le récit, on comprend vite ce qu'ils veulent dire, dans le contexte.
Il est évident que je préfère la version originale à la version française, et je pense que ce serait le cas avec tous les romans traduits que j'ai lu, pour l'unique raison que la plume de John Green prend énormément d'ampleur, elle se découvre dans son intégralité, et c'est magnifique.
Par cela, je veux dire que j'ai été plus facilement, plus naturellement émue que par la version française.
Les passages célèbres traduit en français sont tellement plus authentique dans leur langue originale; il en est de même pour les personnages, les dialogues: on ne peut pas y résister!
Le texte prend vie dans notre tête, et c'est parti pour 300 pages aux côtés d'Hazel et de Gus!
Il n'y a pas de doute que c'est un roman juste fantastique, car même en connaissant l'histoire par cœur, on ne s'en lasse pas.
Le message est clair: lisez sans plus tarder The fault in our stars! Et pour finir de vous convaincre, le dernier passage du roman...
Van Houten,
"I'm a good person but a shitty writer. You're a shitty person but a good writer. We'd make a good team. I don't want to ask you for any favours, but if you have time- and from what I saw, you have plenty- I was wondering if you could write a eulogy for Hazel. I've got notes and everything, but if you could just make it into a coherent whole or whatever? Or even just tell me what I should say differently. Here's the thing about Hazel: Almost everyone is obsessed with leaving a mark upon the world. Bequeathing a legacy. Outlasting death. We all want to be remembered. I do, too. That's what bothers me most, is being another unremembered casualty in the ancient and inglorious war against disease. I want to leave a mark. But Van Houten: The marks humans leave are too often scars. (Okay maybe I'm not such a shitty writer. But I can't pull my ideas together, Van Houten. My thoughts are stars I cannot fathom into constellations.) Hazel is different. She walks lightly, old man. She walks lightly upon the earth. Hazel knows the truth: We're as likely to hurt the universe as we are to help it, and we are not likely to do either. People will say it's sad that she leaves a lesser scar, that fewer remember her, that she was loved deeply but not widely. But it's not sad, Van Houten it's triumphant. It's heroic. After my PET scan lit up, I snuck into the ICU and saw her while she was unconscious. I walked in behind the nurse and got to sit next to her for like ten minutes before I got caught. I really thought she was going to die before I could tell her that I was going to die, too. I just held her hand and tried to imagine a world without us and for about one second I was a good enough person to hope she died so she would never know that I was going, too. But then I wanted more time so we could fall in love. I got my wish, I suppose. I left my scar. What else? She is so beautiful. You don't get tired of looking at her. You never worry if she is smarter than you: You know she is. She is funny without ever being mean. I love her. I am so lucky to love her. You don't get to choose the ones you hurtin this world, but you do have some say in who hurrts you. I like my choices. I hope she likes hers.
P.310
Je fais partie des quelques personnes qui ont détesté ce roman .. Mais j'adore relire les livres que j'ai aimé en VO ! :)
RépondreSupprimerLu en français, je compte bien le lire en VO un de ces quatre ^_^
RépondreSupprimerJe pense que je le lirai un jour en VO :) <3
RépondreSupprimerBravo pour ta lecture VO ! The fault in our stars est d'ailleurs un bon choix pour une première lecture en anglais, je trouve :)
RépondreSupprimerQu'est ce qu'il a pu me faire pleurer ce roman ! Mais il est très beau, en effet :) .
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