Voici tous les romans que j'ai reçu ce mois-ci, entre les derniers cadeaux de mon anniversaire, et un service de presse.
Plus loin, plus près d'Hannah Harrington
Aujourd’hui, ma grande sœur a décidé de mourir. C’est moi qui l’ai
trouvée et depuis je ne tourne pas rond. June avait une vie parfaite,
bien plus belle que la mienne, alors pourquoi ? Je croyais la connaître
par cœur et je me suis trompée… Pourtant, il y a une chose dont je suis
tout à fait sûre : June n’a pas pu m’abandonner. Elle m’a forcément
laissé un signe, quelque chose, elle me tend la main quelque part.
Peut-être en Californie où elle rêvait d’aller vivre. Ma meilleure amie
est de mon avis et Jake, ce confident secret de June, est d’accord
aussi. Alors, même si pour trouver ce que je cherche on doit traverser
tout le pays et aller jusqu’en Californie, on va le faire. Ensemble.
Upsilon Scorpii de Marie Modiano
«Dimanche 11 janvier. Les cloches sonnent sans relâche :
c’est la fête de la Sainte-Naufragée. Je n’aime pas ce jour de l’année,
il fait toujours gris, et c’est toujours dimanche.
Freddie et moi ne
sortons pas de la journée. Je feuillette le livre que j’ai acheté sur
les constellations. Je n’y comprends pas grand-chose, mais je note dans
mon cahier jaune le nom des étoiles dont j’aime la sonorité : Zeta Persi, Mu Geminorum, Xi Draconis, Upsilon Scorpii…
Je coupe les cheveux de Freddie, avec peine parce qu’il bouge sans
cesse. Heureusement, il ne remarque pas le grand trou que je lui fais
sur la nuque. Il semble ravi de sa nouvelle coupe, et je souris en
moi-même.»

Feuilles d'herbe de Walt Whitman
La plus grande poésie des temps modernes, égale à celle d'Homère, Shakespeare et Dante, sonne dans ces Feuilles d'herbe.
Elles eurent pour créateur un solitaire américain poussé comme un
gratte-ciel dans un désert inculte de maisons à bas étages. En 1855,
Walt Whitman, de Brooklyn et de Manhattan, fit claquer ses vers comme
des drapeaux de joie pour célébrer un seul et unique patriotisme :
l'homme! L'homme de tous les temps, couleurs ou religions. Osons ce
paradoxe : jamais les bons sentiments ne firent de meilleure
littérature.
Dylan Dubois de Martine Pouchain (service de presse et lecture en cours)
Après un an en foyer, Dylan, un garçon de 16 ans
tendre et solitaire, rentre chez lui... où une surprise l'attend : son
père a remplacé sa mère, partie trois ans plus tôt.
A priori, Dylan n'a rien contre Cynthia, sa séduisante belle-mère. Sauf
quand elle met son chien Rusty dehors "parce qu'elle ne supporte pas son
odeur". Et puis, Dylan ne comprend pas pourquoi son père mute caniche
dès qu'elle le siffle...
Mais le pire, c'est quand il comprend. Cynthia n'est pas juste une
belle-mère désagréable : c'est une machine à démolir les gens. Dylan n'a
plus qu'une issue : se tirer avec Rusty. Direction la forêt!
Voià, c'est tout pour cet IMM, j'espère qu'il vous aura plu! :)
Au fait, le Salon du Livre de Montreuil s'approche, y serez-vous présent?
Personnellement, j'y serai le samedi, et j'aimerais beaucoup vous rencontrer!
Plus loin, plus près et Dylan Dubois ont l'air pas mal du tout :)
RépondreSupprimerDylan Dubois commence très bien en tous cas ^^
SupprimerOh Dylan Dubois me brancherait bien à priori!
RépondreSupprimerHâte de voir ta chronique pour confirmer ou non! :)
Super! :)
SupprimerPlus loin plus près me tente pas mal ainsi que Dylan Dubois !
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